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Panthéon du Bourbonnais Auvergne

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Panthéon du Bourbonnais Auvergne Empty Panthéon du Bourbonnais Auvergne

Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:26

Charte du Panthéon du Bourbonnais Auvergne :


Prélude
Ce Panthéon rassemble les personnes ayant apporté leur contribution pour construire notre Duché et l’avoir aidé à avancer.
Ces personnes ont été ou bien sont toujours actives et impliquées dans la vie de leur ville et du Duché.
Il ne remplace pas les Panthéons locaux qui ont été mis en place dans certaines villes, mais devra être considéré comme une reconnaissance pour l’aide qui a été apporté.

1. Présentation d’un dossier de candidature :

a) Qui peut proposer une candidature ?

Pour qu’une personne puisse proposer un dossier, il faut que ce dossier soit signé par elle-même ainsi que par un notable (Maire, Conseiller Ducal ou Noble) ainsi que par trois autres habitants du Duché.
La personne qui est proposée ne doit pas faire partie des 5 signataires.

Dans certains cas exceptionnels, les Nobles peuvent proposer d’eux même un dossier.

b) Que contient le dossier ?

Le dossier doit être présenté ainsi :

1° Nom
2° Localisation
3° La date d’arrivée dans le jeu, la date d’incription au forum
4° Mandat(s) à son actif (dans le Conseil Municipal ou Ducal par exemple)
5° Biographie de la personne
6° Partie libre : Motivations

Dans cette partie, la personne qui dépose ce dossier doit expliquer pourquoi d’après elle, son candidat mérite d'entrer dans le Panthéon.

7° Nom des 5 signataires.

c) A qui remettre le dossier ?

Le dossier est à remettre au Conseil à la Culture qui lui le transmettra à la chambre des Nobles.

2. Etude du dossier

a) Qui étudie les dossiers ?

C’est la chambre des Nobles qui est responsable de décider si une personne est apte ou non à entrer dans le Panthéon.

b) Déroulement des votes au sein de la chambre des Nobles

Quand un dossier arrive, son dossier est affiché dans la chambre et son cas est mis en discussion.
Une fois que tous ont eu l’occasion de s’exprimer, le responsable lance le vote.

Arrivent plusieurs possibilités :

1° Le candidat n'a pas la majorité, il est refusé.

2° Le candidat a l'unanimité, il entre au Panthéon.

3° Le Candidat a la majorité relative, et dans ce cas les débats reprennent avant de le soumettre à un deuxième et dernier vote.
Lors du deuxième vote, si au moins un quart ou plus des suffrages exprimés refusent son adhésion, la candidature est rejetée.


Dernière édition par Gypsie le Jeu 13 Nov - 16:57, édité 1 fois

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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:28

Himérius :

Himérius fut Bourbonnais Auvergnat et Aristotélicien.
On lui doit entre autre la construction de la Cathédrale de Clermont.
Himérius fut à l'origine d'un Schisme qui fit naître la Congrégation de St Thomas et le Thomisme.

En 1453 encore, l'Eglise Aristotélicienne n'avait pas encore retrouvé les textes qui ont conduit à la traduction du Livre des Vertus, nous connaissions très bien les écrits de Christos, mais la Vita d'Aristote était inconnue.

Lorsque ces derniers textes ont été retrouvés, il a fallu procéder à une réorganisation complète de l'église, il a aussi fallu que chaque prêtre ouvre son esprit au nouveau dogme.

Himérius lui a décidé de rester fidèle aux croyances de ses pères, d'où la naissance d'un schisme, mais l'effort était trop dur pour son corps usé par l'age, sa volonté était de fer mais sa santé d'argile. Les incessantes batailles théologiques ont eu raison de lui...
Trufaldini, à l'époque curé d'Aurillac, qui l'avait assisté dans cette bataille a par la suite trouvé un compromis avec Rome. Il a obtenu de la congrégation du Saint Office la reconnaissance égale entre Christos et Aristote et a fondé le Thomisme (dont les sources sont plus liées aux enseignement mystiques de Christos qu'aux enseignements d'Aristote).

Saint Trufaldini parlait de lui en ces termes :

Nous garderons toujours le souvenir d’Himérius comme de celui de quelqu’un qui fit avancer l’Eglise, qui la servi, avec dévotion, qui l’aima aussi, et qui n’hésitait pas à lui faire savoir quant elle se trompait… Himérius fut un des fondateurs de la Congrégation de St Thomas, il en fut l’initiateur…


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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:29

Marlaeauvergne

Marlaeauvergne fut l'un des premiers habitants du Bourbonnais Auvergne "moderne". Il s'installa à Bourbon.
Fidèle parmi les fidèles aristotéliciens, il fit construire la Première Eglise de Bourbon où nombre d'ecclésiastiques venaient se recueillir.
Il s'engagea très vite en Politique et fit partie du tout premier conseil du Bourbonnais Auvergne, en Avril 1453, sous le mandat du Duc Ahauber. Il endossa avec beaucoup de succès le poste de Porte Parole du duché, poste qu'il retrouva en Juin 1453, sous le mandat du Duc Mephistophèle.
On reconnut à Marlaeauvergne l'une des plus grandes qualités : Il savait écouter, calmer les tensions, réunir et fédérer les gens. Il fut un homme de Paix.
En Septembre 1453, le Duc Don Vasco ne peut terminer son mandat suite à une grave maladie, c'est Marlaeauvergne qui prit la régence pronant la Paix et le rapprochement avec d'autres peuples, notamment la Champagne.

Homme de grande foi, on lui doit l'implantation de l'Aristotélicisme dans notre Duché.

Il crée une Université, qui porte aujourd'hui encore son nom, dans laquelle les maires pouvaient apprendre leur métier.

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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:31

Zéroukay


ZEROUKAY, Baronne d'Aigueperse


Arrow 9ème maire de Bourbon élue le 6/8/1453
Arrow 1er Conseil: Juge sous le mandat du Duc Don Vasco - Août-Septembre 1453
Arrow Second Conseil : Juge sous le mandat de la duchesse Alivianne - Octobre novembre 1453
Arrow Troisième Conseil : Connétable sous le mandat du Duc Blue130 - Décembre Janvier 1454
Arrow Création, en collaboration avec Odin et Don Vasco, de la Fondation
Arrow Quatrième conseil : Duchesse du BA - mars-Avril 1454
Arrow Assassinée le 6 Mars 1454, le jour du résultat des élections ducales


*************************************

Bourbonnaise, Zéroukay fut élue 9ème maire de la ville le 6 Août 1453.

Très vite entrée en Politique, elle accède au Conseil ducal avec la liste -UPL- (Union pour la Prospérité et la Liberté)  au poste de Juge (sous le mandat du Duc Don Vasco en Août-Septembre 1453). Elle renouvelle son poste de Juge sous le mandat de la Duchesse Alivianne en Octobre - novembre 1453 (inscrite sur la liste PARS-VdP "L'Auvergne en bleu de chauffe).
Elle co-fonde le parti "La Fondation" avec Don Vasco et Odin et se présente aux élections ducales suivantes. Elle devient Connétable sous le mandat du Duc Blue130 et organise avec le capitaine Héraklius la prise du château et la destitution du Duc.
Aux élections suivantes la Fondation remporte la course mais laisse la place à Trollfarceur à la tête du duché.
Aux élections suivantes, mars 1454, Zéroukay devient Duchesse du BA.


L'histoire du BA a écrit:Lors du mandat précédent, la Fondation était arrivée en tête et pourtant Messire Odin, leur tête de liste de l’époque, laissa la place à Messire Trollfarceur. C’est donc tout naturellement que la tête de liste de l’ABA, Messire Silec, leur rendit la pareille en laissant la place à Dame Zeroukay qui devint ainsi la deuxième Duchesse de l’histoire du Bourbonnais-Auvergne.

Voici l’annonce que Messire Silec fit à la suite des résultats :

Mesdames messieurs je tiens à vous remercier pour avoir voté pour notre programme.
L’ABA lors des dernières élections a bénéficié de la place de duc permettant à messire Trollfarceur d’accéder au duché Bourbonnais-Auvergne.
Lors du débat sur la gargotte j’ai dit que si la différence de voix était telle qu’il y ai presque égalité je redonnerais à mon tour la place de duc en l’occurrence de duchesse a dame Zeroukay.
Ce jour je tiens parole.
Je souhaite, à la duchesse Zeroukay de mener avec toute son équipe du conseil à bien les réformes souhaitées par tous.
Nous ferons en sorte d être complémentaire afin de mener le duché Bourbonnais Auvergne au plus haut pour que sa renommée dépasse les frontières.
Nous mettrons en place déjà avec l’accord des autres partis en lice pour ces élections le programme de festivités que vous réclamez. Ainsi que toutes les propositions que l’on vous a faites.
Je tiens encore une fois à remercier tout le duché pour sa clairvoyance d’avoir choisi une équipe sur ces listes de personnes entièrement dévouées pour le duché Bourbonnais Auvergne.

Dans très peu de temps vous prendrez connaissance des postes composant le conseil.

Je vous remercie de m’avoir écouté.


Le mandat débuta dans une ambiance se voulant sereine et sans aucun accrochage. Le précédent ayant été très tendu, personne ne voulait revivre la même chose. C’est pourquoi tous les Conseillers prirent l’habitude d’éviter toute forme de conflit au sein du Conseil. La répartition des postes se déroula également sans soucis majeurs, tous les partis faisant de gros efforts pour s’accorder.

A la fin du mandat, quelques tensions commençaient à se faire ressentir, un trop plein de silences, de non-dits. Malgré cela, tous les Conseillers s’entendirent pour dire que ce mandat fut très productif et agréable.

Mais en pleine nuit, alors que tous attendaient les résultats des nouvelles élections avec grande impatience, on apprit que la Duchesse Zeroukay avait été poignardée dans son bureau.


Zéroukay est donc assassinée le jour des résultats des élections, le 6 mars 1454.
Concernant son assassin, l'AAP note :

2006-05-24 16:41:42
L'arrestation de l'assassin de la duchesse Zeroukay

CLERMONT-(AAP) L'assassin de la duchesse auvergnate Zeroukay a été retrouvé par une petite patrouille de l'armée et emmené sous bonne garde à Clermont où il a été jeté en prison. Il faut rappeler que cet individu du nom de Bernado de Tremossi s'était enfui après avoir transpercé de toute part la duchesse sous le coup de la folie. Le peuple auvergnat est en effervescence. Tous réclament le jugement du meurtrier et la peine capitale.

Emmanuel de Castelviray Danton, pour l'AAP

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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:37

Trufaldini :

Voici l'hagiographie de Saint Trufaldini que la Sainte Eglise a commandée.

Saint Francesco Trufaldini le Bien-Aimé
La raison, sans l’assentiment du cœur, est comme un coquillage vide. L’essentiel est ailleurs, et Dieu dépasse les querelles de partis.

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Grand religieux disparu le 4 octobre 1454, Francesco Trufaldini est présenté à la canonisation en tant que bâtisseur de l'Eglise en raison de son œuvre particulière et remarquable.


UNE VIE DEDIEE A L'EGLISE

Le salut dans la prière

Francesco Trufaldini est né dans un petit village d'Italie du nord d'un père Italien et d'une mère française. Enfant fort curieux, il chercha souvent dans la prière et la quête de Dieu les réponses qu'il attendait.

Agé de 20 ans, il immigre en France dans le duché du Bourbonnais Auvergne pour y retrouver sa famille maternelle. Mais là… c'est le drame… Il ne trouve aucune trace des siens, ceux-ci ayant été décimé, qui par le froid et la maladie, qui par l'épée de seigneurs guerroyants.

Sans autres ressources que ses bras et sa Foi, Trufaldini se retrouve seul dans un pays dont il ne connaît pas la culture ni les habitants. Se réfugiant une nouvelle fois dans la prière, il fréquenta alors assidûment l'église de la paroisse qui était la sienne, Aurillac. C'est à ce moment que sa vocation se trouva renforcée ; il lui fallait servir Dieu et son Eglise, ainsi que les hommes qui sont les créatures de Dieu.

Au service de la famille aristotélicienne

Remarqué par l'archevêque Himérius, tant par sa Foi que par ses talents en dogmatique, Trufaldini fut ordonné prêtre de la paroisse d'Aurillac en novembre 1453. Accueilli et aidé par le franciscain Arathornf, Trufaldini put exprimer ses qualités de clerc et il fut, peu de temps après, nommé vicaire général du Bourbonnais Auvergne.

Lors de la Réforme qui anima tant l'Eglise, Trufaldini fit partie de ceux qui s'engagèrent fermement dans le respect des efforts accomplis jusque là pour l'édification de l'Eglise. Fondateur avec Lorgol, gandalf_NIM, Leto2 et les saints Karel et Abysmo de la Congrégation de Saint Thomas, il en fut l'un des bien-aimés recteurs. Après la mort d'Himérius qui intervint lors de ces intenses événements, Trufaldini lui succéda à la tête du diocèse de Clermont.

Aussi aimé et écouté de ses ouailles que le fut Himérius, mais aussi talentueux et habile rhéteur, Trufaldini fut naturellement nommé Cardinal par le Sacré Collège en mai 1454. Il mit alors ses talents de théologien et de traducteur au service du Dogme.

La mystique comme soutien

Malheureusement en juillet 1454, alors qu'il cherchait quelques vieux parchemins en la riche bibliothèque de l'abbaye de Clermont, Trufaldini tomba d'une échelle et se trouva paralysé.

Malgré son incapacité physique et les souffrances qu'il endurait, Trufaldini continua à se consacrer à ses chères études théologiques, n'hésitant pas à sillonner les royaumes, allongé sur sa litière, accomplissant à l'occasion un miracle par ci par là... Cependant, il abandonna sa charge d'évêque à Ivrel qui sut reprendre la flambeau clermontois avec le brio qui est le sien.  

Mais cette abnégation eut finalement raison de lui et le 4 octobre 1454 le Cardinal Trufaldini fut retrouvé mort en sa cellule de l'évêché de Clermont, la main posée sur sa dernière correction de la Vita de Christos et le visage empreint de calme et de sérénité.


UN THEOLOGIEN MAJEUR

Quel meilleur moyen de contempler l'œuvre de Trufaldini que de se plonger dans la lecture du Dogme.

Jamais il ne compta son temps lorsqu'il s'agissait de se plonger dans les traductions de textes anciens. Combien d'heures il passa avec ses amis Pouyss et FrèreNico à deviser joyeusement de finesses sémantiques et théologiques. Sa correspondance avec Khereddine, cavalier venu de lointaines contrées d'Orient fut riche et permit également la découverte de nombreux textes apocryphes.

Son érudition n'avait d'équivalent que son humilité. Car s'il peut être considéré comme un des plus grands savants du Moyen-Âge, jamais il n'en tira gloire personnelle car toujours il travaillait à la grandeur de l'Eglise.

Et loin de se perdre en logorrhées indigestes, il cherchait toujours à rendre ces textes sacrés accessibles à la compréhension des plus humbles d'esprit.

A trop vouloir en mettre, les textes deviennent vite de vrais fourres tout indigestes. Les Paroles de l'Eternel doivent être comprises de tous. La clarté de Ses enseignements doit se retrouver dans les traductions que nous en faisons.

LA FORCE DES RACINES

Homme de lettres, ses études des textes antiques avaient fait comprendre à Trufaldini à quel point le passé se révélait souvent porteur de riches enseignements.

Ses racines thomistes

Trufaldini fut l'un des fondateurs de la Congrégation de Saint Thomas au sein de laquelle il œuvra pour le rayonnement des enseignements de Christos. Cependant, il voyait le thomisme non pas comme cet ordre souvent présenté comme conservateur mais bien comme la pierre sur laquelle reposait l'unité de l'Eglise.

Nos deux prophètes sont destinés à guider la Famille aristotélicienne... Et pour les thomistes, Christos est plus qu'un prophète, c'est un homme exceptionnel, guide, miroir de la divinité, habité par Dieu. La Congrégation de Saint Thomas n'est pas l'Eglise Conservatrice Aristotélicienne, c'est, au contraire, l'ordre de la réconciliation. Par conséquent, il n'a de sens que dans l'Eglise.
Les valeurs thomistes inspiraient Trufaldini au quotidien. Il ne lui avait cependant pas échappé que les ordres historiques traversaient des périodes difficiles et que ces doutes rejailliraient tôt ou tard sur l'Eglise toute entière.

Aujourd'hui, les cisterciens sont en crise, les thomistes aussi, l'Eglise l'est également, il suffit de parcourir les paroisses pour s'en rendre compte : nous ne savons plus qui nous sommes. Or c'est en sachant ce que l'on est que l'on saura ce que l'on doit être.
Soucieux que l'Eglise ne perde pas son âme, soucieux qu'elle trouve sa véritable route, Trufaldini le bien-aimé se référait souvent aux anciens de l'Eglise.

Les racines de l'Eglise

En nos temps incertains, quoi de plus rassurant pour le fidèle que de prendre exemple sur un homme dont la vie et la piété furent exemplaire? Les saints sont là pour nous guider, ils nous permettent de nous rattacher à quelque chose, à une tradition, à une manière de vivre; ils sont donc utiles à la foi, aux œuvres, à la vertu... ils participent à l'Aristotélisation de notre terre.
Voilà comment Trufaldini voyait le rôle des saints de l'Eglise aristotélicienne, ces saints dont il avait étudié l'œuvre, ces saints qu'il avait côtoyés. Il demandait souvent à ceux qui étaient dans le doute de méditer les œuvres qui avaient été accomplies.

Et dans ces temps incertains, nous ne savons plus, parfois, à quels saints nous vouer, d'où l'utiliser de nous replonger dans nos racines, dans nos actions, afin de retrouver les points qui font notre spécificité et qui doivent rester intangibles.
Cependant, il ne vénérait pas aveuglément les pères fondateurs de l'Eglise. S'il les considérait comme des exemples de dévouement à l'Eglise, sa vision des nouvelles générations de clercs étaient celle d'une génération conquérante. Après l'édification de l'Eglise venait pour lui le temps de l'aristotélisation des contrées.

Les anciens comprendraient que, sans renier nos fondements, les vivants d'aujourd'hui doivent parfois savoir évoluer. De même, les vivants d'aujourd'hui n'ont pas forcément moins d'envergure, ils sont juste plus nombreux. L'œuvre des anciens fut fondatrice, la nôtre est conquérante !
Trufaldini considérait certes le Dogme comme intangible, mais il appartenait aux clercs présents auprès des fidèles de savoir trouver la meilleure manière de leur transmettre.

J'ai remarqué un amollissement dans l'Eglise, un amollissement dans notre pugnacité. Soyons donc ceux par qui l'Eglise se réveillera.

LE CLERC EXEMPLAIRE

Si Trufaldini, en un temps, s'opposa à la Réforme qui mena à la création de la Congrégation de Saint Thomas, il n'eut par contre de cesse, une fois Christos reconnu, de faire respecter la voix de l'Eglise. Il n'observait pas simplement la règle édictée par le droit canon, il souhaitait bien souvent la renforcer pour être fidèle aux paroles de Christos qu'il avait souvent méditées.

Je serais pour interdire à nos clercs de bouffer du maïs, car après tout, nous nous devons de nous différencier du commun des mortels.
Mais jamais il ne fit pas partie de ceux qui demandent aux autres qui exigent des autres sans faire le moindre effort. Humble et exemplaire, la Foi était pour lui une affaire personnelle.

La rédemption, elle, est un chemin que l’on parcourt toujours seul… avec l’aide de Dieu.
Homme d'expérience, il savait comment faire face aux difficultés de l'existence et aux doutes qui pouvaient s'emparer des hommes. Faire un pas en arrière ne fut jamais un doute pour lui lorsque cela permettait ensuite d'avancer de deux pas.

En quelque sorte, dire que "trop de communauté tue la communauté", et que pour mieux apprécier celle-ci, il vaut parfois mieux la contempler de loin, et connaître la solitude.

UN HOMME DE FERME RAISON

Souvent, lors de conflits, il était fait appel à la pondération et à la diplomatie de Trufaldini tant ses lumières pouvaient apaiser d'un trait les débats les plus acharnés. Fidèle au Dogme, il ne souhaitait que de tendre vers le Juste Milieu et il encourageait les aristotéliciens à faire de même.

Souvent j'entends nos frères et nos sœurs échanger de durs propos…

D'un côté, le croisé pur et dur pour qui l'Eglise devrait se reconvertir en entreprise de fabrication de barbecues. De l'autre, l'intellectuel fier et entier, analysant chaque chose et ses conséquences, méthode qui pourrait avoir tendance à émousser et à ralentir la réactivité de l'Eglise, comme l'efficacité de ses actions.

Un compromis entre les deux est possible, je pense, mais de grâce, cessez ces vaines querelles et serrez-vous la main, comme le voudraient nos prophètes. Je n'en peux plus de voir un tel exemple de désunion s'offrir aux yeux de nos fidèles.

Cette sagesse naturelle s'exprimait aussi à l'égard des hérétiques et autres hétérodoxes qui daignaient l'entendre. Mais cette modération était loin de traduire une faiblesse à l'égard des païens. Car lorsque le Nom de l'Eglise était par trop injurié, il n'hésitait pas à appeler les forces de l'aristotélisme à se dresser contre les suppôts de la créature sans nom. Et les harangues de Trufaldini trouvaient toujours leur pleine mesure dans ce langage imagé qu'il tenait de ses années clermontoises.

CROISADE!!! MORDIOUS

Estripons les, ces faquins, ces marauds, ces butors de pieds plats ridicules!!!

Pendouillons les, ces godelureaux troupoteux, ces vils scélérats, ces perfides coquins, ces fripons, ces impurs, ces fourbes, ces maudites et misérables mouches!!!

Egorgeons les joyeusement mes amis!!! brûlons ces païens!!! qu'ils s'en repentent d'avoir osé enfreindre les lois de nostre Saincte Eglise.
Et au-delà de l'élimination des ennemis de l'Eglise, Trufaldini voyait en ces actions purificatrices un moyen pour l'aristotélisme d'évacuer les tensions qui lui étaient internes. Quel meilleur moyen de purger les passions que de vibrer ensemble dans un même combat ? Dans cette catharsis collective que pouvait être la croisade.


UN HOMME A L'ECOUTE DU SIECLE

Serviteur de l'Eglise, Trufaldini le Bien-Aimé n'était pas pour autant autiste à la vie des Royaumes.

Attentifs aux propos des humbles, il commenta souvent avec sagesse les édits royaux.
Que les vagabonds ne puissent plus se déplacer, voilà bien chose extravagante. Car quel est le propre du vagabond, sinon vagabonder.

Très admiratif du travail réalisé en l'abbaye de Tastevin, Trufaldini, attentif à toute œuvre religieuse, s'inspira du travail des moines artésiens pour élaborer, en l'abbaye de Clermont, une bière digne de ce nom. Très appréciée des frères et sœurs thomistes, cette gueuze anima de nombreux repas de la Congrégation avant de se répandre dans tous les Royaumes pour le plus grand bonheur des aristotéliciens.

De même, lui qui aimait tant les fleurs s'entretenait souvent d'herboristerie avec son ami Fredstleu (car n'oublions pas que l'abbaye de Noirlac compte parmi les plus beaux jardins de l'aristotélisme), échangeant grandement sur leurs méthodes de jardinage…
Et tant qu'à faire, gardons les insectes, ils jouent très bien leur rôle.

ABNEGATION ET MYSTICISME
L'actif paralytique

Même diminué, l'abnégation de Trufaldini pour les hommes qui sont la Création de Dieu ne faiblit pas. Il faisait souvent partager son expérience avec de jeunes clercs ou de simples aristotéliciens pour qui ce grand homme était un modèle. Son Eminence Ivrel est l'exemple incarnée de cette capacité de Trufaldini à transmettre son excellence.

Avant que mon accident ne vienne me priver de l'usage de mes membres, je travaillais moi-même souvent à l'Eglise... Je voyais en ce travail une forme d'amour pour le Très-Haut, et une manière de se libérer de mes soucis terrestres pour mieux m'élever spirituellement.

Faisant montre de beaucoup de simplicité, ne désirant par exemple que deux porteurs pour sa litière au lieu des quatre prévus au protocole, il avait toujours quelques mots pour les gardes qui l'accompagnaient alors en permanence.

Si la garde papale a réellement une septième compagnie, alors que Dieu nous protège.
Le miracle de Lubin

Certains lui reprochaient d'user et d'abuser de remèdes préparés par l'herboriste de l'évêché de Clermont, et il répondait souvent :
Oui j'ai les yeux jaunes, et alors ?!? Ce n'est jamais que la lumière de Dieu qui inonde mon âme et se reflète dans mes pupilles.
Ces propos faisait sourire les médisants jusqu'à ce qu'un jour d'automne, alors que Trufaldini ne parlait presque plus, une jeune meunière aveugle, Lubin, vint le visiter pour lui demander sa bénédiction. Affaibli, Trufaldini écouta pourtant cette jeune femme, attentif à ses propos et à son trouble. Le Bien-Aimé cardinal, puisant dans ses faibles réserves, lui parla alors un long moment, avec mansuétude, mais aussi avec la justesse qui était sienne.

La voie est jonchée de pierres coupantes et pourtant tu y chemineras pieds nus. La douleur sera forte mais pas insupportable car tu sais qu'au bout de ton voyage tu trouveras un ruisseau qui pourra guérir toutes tes plaies.

Ce chemin est la repentance et ce ruisseau le pardon de Dieu. Emprunte cette voie comme Christos nous l'a demandé et tu pourras alors tendre vers le juste Milieu.
Ces paroles prononcées, Trufaldini essuya les larmes de la jeune meunière que ces propos avaient bouleversée. Ouvrant les yeux qui ne contemplaient d'habitude que l'obscurité, la jeune meunière vit devant elle un visage empli de bienveillance. Lubin avait retrouvé la vue.

Ce miracle attesté révèle la pleine essence de la vie de Trufaldini le Bien-Aimé. Foi et Vertu furent les valeurs qui l'animèrent et qu'il sut transmettre à ceux qui l'ont côtoyé.


HOMMAGES

Jeandalf a écrit:c'est un triste jour pour l'Eglise et les royaumes, remercions toute fois le Très Haut de lui avoir laissé la force de terminer la traduction des textes sacré de la vista de Christos...c'est un héritage que nous chérirons.
Ivrel a écrit:C'était un saint homme, il m'a guidé sur le chemin de la foi.
Olaf a écrit:Ce jour est encore un jour bien sombre pour notre église et notre Communauté.
Un grand Cardinal, un Grand Homme a rejoins le Très Haut.
Humbert a écrit:Quelle tristesse.
Un homme complet, érudit et fin théologien...
Ce n'est pas le cas à chaque fois, mais là, c'est vraiment une grosse perte.
Inorn a écrit:Quel malheur pour la communauté aristotélicienne ! Un homme de si grande valeur ayant tellement fait pour l'Eglise à travers de nombreuses oeuvres fondatrices.
Mailhes a écrit:Francesco Trufaldini, tu as rejoint le Soleil, et comme il a éclairé tes jeunes années, ton exemple éclairera les routes que nous emprunterons.
Fredstleu a écrit:Que le Trés Haut le reçoive dans sa maison au milieu d'Aristote et des Saints de notre Eglise.
Ubaldo a écrit:ENcore un grand qui s'en va
Lorgol a écrit:Mon frère, mon ami, sois en paix aux côtés de Christos, celui dont tu as contribué, plus que nul autre, à établir la gloire pour les siècles des siècles.
A bientôt...
Pouyss a écrit:Cet homme était un saint. Mais c'était surtout un ami. Un grand ami. Jamais deuil ne m'a été plus dur.
Repose en paix, mon ami. Jamais je ne t'oublierai.
Gloth a écrit:Je l'ai peu connu mais j'appréciais beaucoup ses interventions à Rome. Avec modestie, il a accompli de grandes choses pour l'Eglise.
Vilca a écrit:Un grand homme, un grand Cardinal et surtout un grand ami, voilà ce que je perds aujourd'hui, ce que chacun de nous perd aujourd'hui.
Trufaldini, celui avec qui j'ai eu tant de plaisir à travailler, celui avec qui les échanges étaient toujours intéressants, instructifs et dont le dévouement et les idées faisaient avancer beaucoup de choses.
FrèreNico a écrit:Uu homme d'une immmmmmense valeur, pour ceux qui ne le connaissent pas vous ne savez pas quelle homme l'Eglise perd.
J'invite tout le monde à lire la vie de Christos que celui ci a rédigé, vous verrez un aperçu de ses talents.
Mais il fallait le vivre le Truf, pour en connaître toute la dimension...
Salut mon ami.
Alino a écrit:au revoir mon frère.
bouboule a écrit:C'est a ce grand homme que l'on doit une grande partie de notre Eglise...


MAXIMES

Comme il est dit à Clermont, où la cave de Trufaldini aida grandement à l'aristotélisation des contrées :

A la saint Trufaldini, toute liqueur sera bénie.
L'amertume n'est jamais secondaire.
A propos de l'écoute des attentes des fidèles

Gloire aux hommes qui se sacrifient sur l'autel de l'unité de l'Eglise!!!

RELIQUES

Le corps de Trufaldini repose dans la crypte de l'Abbaye thomiste de Clermont, aux côtés d'autres saints que sont Thomas et Himérius. Nombreux sont ceux qui viennent se recueillir devant la niche qui est sienne.

Sa plume d'oie. Alors qu'il lui eut été facile de se procurer certaines de ces plumes dorées à l'or fin, il travailla toujours une plume arrachée à sa fidèle oie de compagnie, offerte par Himérius au jeune clerc qu'était alors Trufaldini. La légende raconte que jamais, même dans ses moments d'indigence la plus manifeste, Trufaldini ne se résigna à manger cette oie tant ses plumes étaient de qualité. Aujourd'hui cette sainte oie coule des jours tranquilles dans la ferme de l'abbaye de Clermont.


ELEMENTS ASSOCIES

Son érudition et sa tempérance. Saint patron des gens de lettres et des théologiens.

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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:49

Odin :


(Biographie rédigée par Themis pour le Panthéon)

ODIN, Vicomte de Ravel, Seigneur de Viverols


Panthéon du Bourbonnais Auvergne 1-54


Arrow  Né le 14 Mai (2005 -IG et 19 Mai 2005 Sur le Forum)

Arrow Baptisé par le père Assunto en la paroisse de Montbrison le 20 mars de l'an de Pasques 1453

Arrow Union civile avec feue Zeroukay, Duchesse de Bourbonnais-Auvergne et baronne d'Aigueperse (le 01/04/1454), célébrée par les maires Nevitta et Thibantik.

Arrow Mariage avec Gypsie,Vicomtesse de Ravel et baronne douairière de Domérat,célébré par le cardinal Ivrel, à Ravel, le 09/09/1454

Arrow Ecuyer de l’ordre de la Licorne

Arrow Co-Fondateur de la Fondation

Arrow Anobli le 04/05/1454 par feue la duchesse Zeroukay, dont voilà la citation

Liste des Mérites et des qualités :

Odin s’est toujours beaucoup investi pour la vie de son village et de son Duché. Pendant 3 mois consécutifs il a assuré le calme de Montbrison en remplissant son rôle de Lieutenant de police.
Fondateur de la Mairie de Montbrison, il a épaulé le maire en étant son conseiller pendant 3 mandats consécutifs.
A la suite de cela, il est devenu lui même maire.

Il a également été Ecuyer de l'Ordre de la Licorne

Pendant ses mandats de Conseiller ducal, soit durant 4 mois et ½, il a rempli brillamment ses fonctions en s’investissant dans ses missions de :
Bailli aux mines durant 1 mois
Prévôt des maréchaux durant 2 mois et 1/2
Juge durant 1 mois

Il est également Co-Fondateur de la Fondation qu’il a représenté durant un mandat en tant que tête de liste.


************************************
POSTES :

Arrow Lieutenant de police à Montbrisson

Arrow Maire adjoint de Montbrisson (Trois mandats)

Arrow Prévot des Maréchaux du Bourbonnais-Auvergne(10/1453)

Arrow Maire de Montbrisson (deux mandats : 12/1453 et 02/1454)

Arrow Juge du Bourbonnais-Auvergne (01/1454)

Arrow Bailli aux mines du Bourbonnais-Auvergne

Arrow Initiateur du projet de séparation du Bourbonnais et de l'Auvergne qui avait pour but, selon lui, de faire 2 comtés forts et unis, dans un mouvement pacifiste (été 1454)

Arrow Poursuivant d'armes du Bourbonnais Auvergne

Arrow Nommé Juge à la Cour d’Appel le 09/09/1454, dont voici la citation :

Enfin pour clôturer cette première série de nomination, Odin52, Vicomte de Ravel.

Ci-joint sa lettre de candidature:


A Montbrisson, le cinquième jour du mois de septembre de l'an 1454.


Je me présente, Odin de Viverols, Vicomte de Ravel. Habitant depuis plus d'un an à Montbrisson, duché du Bourbonnais-Auvergne où j'y ai occupé les postes de lieutenant de police (3 mois), de prévost (3 mois), de maire (2 mandats), de bailli aux mines (1 mois), et enfin de juge (1 mois). Actuellement j'exerce la fonction de Poursuivant d'Armes et suis également Ecuyer de l'Ordre de la Licorne.

********************

Etant depuis toujours attiré par la justice au sein des Royaumes, et n'ayant jamais été condamné à un quelconque procès (je n'ai été accusé qu'une fois pour diffamation, à tord), je me permet de vous présenter ma candidature pour le poste de juge à la Cour d'appel.
Bien que je pense que trop souvent les lois soient complexes, les codex trop chargés (un bon arbitrage, rien de tel ! Ne sommes-nous pas au Moyen-Age ?), durant plusieurs mois, j'ai participé au maintient de l'ordre dans mon duché et ma ville, et ai veillé à ce que les lois soient appliquées et connues par tous. Encore aujourd'hui, même si je n'ai plus aucun poste à responsabilité dans ce domaine, je participe aux discutions tournant autour et continue à m'y intéresser.

En l'attente de votre réponse, veuillez recevoir l'expression de mes sincères salutations.

Odin de Viverols, Vicomte de Ravel


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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 16:52

Don Vasco

AutoBiographie de Don_Vasco d'Azayes


* Chap I – La famille et le drame *
(le background )


Je suis né de famille noble à Péronnes, en Artois.
Mon pére Feu Louis d'Azayes , Seigneur de Matherey épousa Eleanore de Caumont, Dame de Clay , et je fus leur premier né. Ainsi j'ai vu le jour sur les terres du Domaine le 28 Février 1400.
J'ai hérité de mon pére un caractére irrascible mais aussi son bon sens, et de ma mére certains ont dit ses yeux et son charme.
Mes parents ont eu ensuite d'autres enfants, mes 4 soeurs, Aliviane, Oya, Ladyblueeys et Wonderanny. Je partageais assez peu de choses avec elles, du fait d'une différence d'âge marquée, mais cela ne m'empêchait pas de les adorer
A l'âge de 17ans, alors que mes soeurs sont encore jeunes, et moi assez immature, je quitte ma famille pour aller vivre avec celle, qui rendait mon coeur et mon esprit fou, Layalys. Cette femme mystérieuse et plus agée que moi, avait attirée le couroux de mon pére sur notre couple. Il lui reprochait son instabilité, la disait folle, et à moi mon immaturité et mon aveuglement.
J'ai donc abandonné mon rang et ma famille pour aller fonder une nouvelle vie avec celle que j'aimais. Je m'étais spécialisé dans la charpente et la menuiserie, et j'avais épousé symboliquement Layalys alors que nous vivions dans une petite maison dans la campagne arrageoise. Elle m'a donné quatre magnifiques enfants, mes Trois fils Nakuneuil, Dugesglin, Taubi, et ma fille Enorig.
Tout se passait à merveille, en dehors du fait que Layalys était parfois prise de crises d'hystérie violente, que je parvenais toujours finalement à calmer, sauf une terrible fois.
Un soir, lors d'une dispute anodine pour je ne sais plus quelle stupidité ménagére, elle s'est mis en tête que je voulais la tuer, ainsi que mes enfants. C'était faux bien sûr. Mais convaincue d'être en danger, elle m'a blessé de quelques coups de couteau de cuisine sans trop de gravité, aprés l'avoir maitrisée, j'ai tenté de la raisonner, et je pensais y être parvenue. Ca n'était pas la premiére fois que son esprit lui échappait.

Contraint d'aller me faire soigner, je pensais l'orage passé, et pouvoir revenir m'occuper d'elle plus tard. Je l'ai laissée avec nos petits car j'étais persuadé que quoiqu'il arrive elle ne s'en prendrait jamais à eux, et je sais que j'avais raison. Cependant une fois revenu à la maison, elle n'y était plus. Layalys avait pris la fuite, surement encore dans un état de persécussion. Elle avait emporté mes fils et ma fille.

Je me suis lancé à leur recherche, mais je n'avais aucune piste, aucun indice, j'ai fouillé l'Artois de fonds et combles, vainement. Les jours sont passés avec désespoir, puis les semaines. Et à mesure que je me sentais déchiré, privé de l'amour de ma femme et de la présence de mes précieux enfants, j'ai sombré dans l'alcool.

Faute de travail et de motivations, poursuivis par des créanciers, trop honteux pour demander de l'aide à ma famille, je recommence ma vie au niveau


* Chap II - La vie en Artois *
(les début In Game)


Je vagabonde alors quelques années sur les routes d'Artois, et en 1450 je finis par me fixer d'abord comme simple travailleur journalier puis ensuite comme cultivateur de maïs dans la magnifique ville de Péronne. Là je reprends goût à la vie, je m'amuse comme dans ma jeunesse, continue à abuser de la boisson, je fais de la luge avec les locaux ainsi que tant et tant d'autres petits amusement qui rendent la vie plus belle, et j'apprends ce que j'ai besoin de savoir pour devenir un homme sain.
Le hasard fait qu'au détour d'une taverne, je retrouve un cousin éloigné, le Sire Mendoza, un homme admirable. Celui-ci sera comme un nouveau pére pour moi et m'aidera à remonter la pente. Avec lui, je commence même à me passionner pour la politique et je particpe à la formation de la Noble Alliance Artésienne, avec mes cousins de la Fére, mais je comprends rapidement que l'égo de certains ne me permettra pas de défendre les valeurs morales qui étaient les miennes.
L'ambiance devenant pesante pour moi à Péronnes, je suis ensuite devenu pêcheur sur la côte artésienne. J'adorais ce métier, passionnant, difficle, mais rémunérateur, trois à quatre jours de pêche au large puis deux jours de vente dans les terres, je me sentais bien.
Un soir cependant que j'abusais de la biére locale à Calais, un voyageur, profitant de ma tristesse alcoolisée, m'a vendu un titre de propriété. Moi qui pensais avoir acheté un champ de maïs à côté du moulin de Calais, je me suis retrouvé propriétaire à Moulins en Bourbon-Auvergne.
Je ne me sentais pas vraiment de quitter mon Artois natal, mais j'avais eu vent de rumeur disant qu'un Nakunueil vivait dans ce Duché.
J'ai donc traversé le Royaume pour devenir un honnête travailleur des champs en Bourbonnais-Auvergne, avec l'infime espoir de retrouver ma famille


* Chap III – Le Renouveau en terre Auvergnate *
( les campagnes, les fonctions électives, la gloire)


Une fois sur place je tombe amoureux de ces vallées, de ces volcans, de ses forêts, de ses terres, dont j'avais désormais le sentiment qu'elles étaient miennes autant que je faisais partie d'elle.

A moulins la vie est tranquille dans ce Duché en construction, puis un jour au détour d'une biére, je vois un jeune homme, et je reconnais immédiatement mon fils Nakuneuil, mais que faire ?

Allez le voir moi saoulard sans le sou, lui dire que je suis son pére qu'il ne connait pas. Je n'ai pas osé. Je me suis dit qu'il fallait que je prouve au monde et à moi même que j'étais un homme digne, quelqu'un de bien.

Je décide alors de m'investir à nouveau en politique, avec cette fois une expérience solide et une volonté farouche de faire de ce Duché une puissance indépendante des jeux d'égos qui avaient cours ailleurs, et qui tourmentaient alors le Royaume.

Lors de la premiére campagne ducale dans le Duché, je m'illustre par un combat acharné contre le Duc provisoire Abauher, qui se faisait remarquer quant à lui par son incompétence et sa suffisance.
Je suis alors contacté par des personnes de qualités impliquées et compétentes, pour m'associer à une liste d'opposition à celui pour les premiéres élections du Duché. Faute d'un responsable efficace à la tête de notre liste, nous ne parvenons pas à faire une campagne décente, mais je suis quand même élu conseiller Ducal d'opposition du Duché de BA, sur la liste arrivée troisiéme et derniére.

Là je m'insurge contre le nouveau Duc en place, et ses méthodes dictatoriales à mon goût et je suis donc exclus de toute fonction. Mais je deviens Procureur à la faveur de nombreux désistements dans la majorité, au grand dam du Duc Méphis, qui n'a d'autres choix que de me nommer. Une fois en poste je prends le parti de rationnaliser cette fonction, en mettant en place des méthodes cohérentes de procédure judiciaire, et j'en profite pour rencontrer des gens de valeurs qui sont alors lieutenants de police, parmis lesquels un certain Odin.

Le Duc Méphis dans un accés de crise de folie des grandeurs tente à la fin de son mandat de faire envahir le Duché du Limousin par les troupes de Bourbonnais-Auvergne, j'en suis averti par un ami. Et c'est avec l'aide de deux femmes extraordinaires, elles aussi au courant par leur réseau de Amazones que nous arrivons à empêcher la catastrophe en interrompant l'attaque de notre autorité de conseillers ducaux, et sauvons le Duché de l'opprobe et de représailles générales, car pendant ce temps nos voisins réunissaient leurs troupes à nos frontiéres pour nous sanctionner..

Ces femmes sont Alivianne et Oya, mes soeurs. Mais une fois de plus la honte et mon difficile caractére m'empêcha de me rapprocher de mes soeurs comme je l'aurai aimé au fond de moi. Elles, ont compris mon choix de faire profil bas, et ne m'ont jamais interrogé sur mes motivations.

Dans le même temps que mon mandat ducal, la ville de mon coeur connaissait des difficultés à se trouver un maire je me suis présenté. Et seul j'ai été élu maire de Moulins.

J'ai alors travaillé dur pour assurer de maniére sérieuse mes fonctions de Maire et de Procureur, cette expérience m'ouvra un peu plus l'esprit sur les besoins des villes et des habitants, et fut surtout l'occasion de m'épanouir au service de la communauté. J'essaie d'en faire le plus possible pour ces gens qui investissent leur confiance en moi crée le premier panthéon d'Auvergne, j'envoie un marchand ambulant subventionné dans dans d'autres Duchés, j'envoie un rapport d'activité chaque semaine à mes concitoyens, et j'essaie de faire vivre les tavernes locales notamment avec mes amis des « brasseurs moulinois ».

Lors des élections ducales de juillet 1453(?) je m'associe à la liste -UPL- Union pour la Prospérité et la Liberté, une fois de plus entouré de gens de grande valeur (Marlaeauvergne Lafouine, Nakuneuil, Odin, pour ne citer qu'eux). Et aprés avoir rédigé la majeure partie du programme, ainsi que diriger la campagne avec le soutien de mes colistiers, nous remportons ensemble ces élections. En tant que tête de liste je deviens alors IIIeme Duc de Bourbon Auvergne.

Mon ambition était encore de rationaliser l'occupation des postes Ducaux, ainsi qu'en particulier la rédaction d'une nouvelle version du Codex du Duché, qui servit plus tard de base aux réformes des élus suivants. J'envisageais ensuite de remettre en ordre notre armée destabiilisée par les événements réçents.

Mais au milieu du mandat, je suis frappé par la peste, surement contractée lors d'une de mes visites officielles auprés des gens dans la douleur, et malgrés mes effors je suis contraint de laisser les responsabilités ducales à d'autres. La régence est assurée par Marlaeauvergne, tandis que je me remets difficillement.

A mon retour, je reprends une vie paisible de cultivateur, en me disant que j'ai prouvé ma valeur et que la vie est trop courte pour la gacher avec trop de responsabilités.

Mais Moulins risquant d'être sans maire pendant de tristes événements, j'en prends le contrôle par révolte avec l'accord des autorités et je gére avec précaution ma bonne ville ainsi pendant une dizaine de jours.

La Hérauderie reconnaitra pendant ce temps mon droit à porter un titre. Je choisi celui de : Comte de Forez.

Aprés avoir géré Moulins, je me retrouve sans fonction officelle et je fonde La Fondation qui deviendra un parti majeur de la vie politique auvergnate. Le travail était immense, et avait dû se faire dans le plus grand secret, j'étais encore sollicité par d'autres partis pour occuper des postes élevés, mais je sentais que faire reposer mes convictions uniquement sur ma personne ne pouvait être une solution de long terme. Mon but en créant était de mettre en place une force dont la pérénité permettrait d'assurer la continuité de valeurs qui étaient vitales à mes yeux, comme l'indépendance du Duché, la pertinence des programmes (établis sur la durée et réellement applicables), ainsi que le respect de la communauté plus que des ambitions individuelles.

J'avais pleinement repris gout à la vie, j'avais des amis très proches : Zeroukay et Odin, je m'étais satisfait de savoir mon fils en bonne santé, j'étais de toute les fêtes et célébrations, on m'invitait à tout les mariages et banquets à la place d'honneur, j'avais retrouvé la santé, mes projets étaient en voie de réussite. Tout allait bien et il ne me manquait plus qu'un chose pour parfaire ce tableau incroyable, trouver l'Amour.

Et un soir , sans l'avoir cherché, Il m'a trouvé, il était dans les yeux de l'adorable Sissi1, femme de caractére, charmeuse, intelligente et un peu sauvage. Nous nous sommes découverts, aimés, et engagés ensembles.

J'ai utilisé mes pouvoirs de maire pour défaire son union civile avec son mari absent, la manoeuvre n'était pas très élégante, mais le coeur a ses raisons. Puis nous nous sommes fiancés. Elle éprouva le désir bien inutile de me prouver sa valeur, et se présenta comme candidate à Moulins. Je l'ai encouragée et soutenue dans cette tâche qu'elle réussi à obtenir et ainsi j'ai occupé le poste d'adjoint à tout faire.

Lors des premiéres élections la Fondation réalisa un score honorable, et je fus élu conseiller ducal.

* Chap IV – la descente aux enfers *
( Ce que l'on a gagné, on peut aussi le perdre)


Mais Sissi1 lasse d'attendre nos épousailles, me quitta du jour au lendemain, alors que nous nous promenions en Bourgogne, pour partir dans un autre Duché sans me donner de nouvelles. Ce fut un coup terrible pour moi et le début d'une lente descente aux enfers.

Le Duc de l'époque était un certain Blue, il s'était fait élire sur un programme démagogue et grace à sa grande popularité dans le Duché. Sa reconnaissance comme Duc fut le fruit d'une rocambolesque erreur d'un conseiller Fondation, et d'un gigantesque gachis de ma part à cause de ma rancoeur stupide pour celui qui aurait dû être Duc.

Le début du mandat est une catastrophe, faute de programme Blue abandonne les conseillers à leurs fonctions, et tente par tout les moyens de leur reprocher l'inactivité du Conseil face à l'agacement de la population.

Assez rapidement l'idée d'une révolte se met en place, et j'autorise finalement cette action aprés un bras de fer terrible sur les halles et gargote avec le Duc et son clan, dont l'affrontement avait fini par créer et empirer une ambiance délétére dans tout le Duché qui était déjà présente pendant la campagne. Ainsi à la faveur d'un mouvement populaire sans précédant et pour la premiére fois du Royaume, nous parvenons à renverser un Duc en place avec la bénédiction lointaine mais reconnue du Roy.

Durant le conseil de transition, j'occupe symboliquement le poste de Chambellan d'Auvergne, ce qui me permet de conserver mes contacts avec mon cousin Mendoza, dont la liste Artois Renaissant porteuse d'un projet ambitieux avait reçu mon soutien et même ma participation active quoique modeste. A la faveur d'une demande auprés du Duc Trollfarceur je suis même Juge du Duché pendant quelques jours. Pendant ce temps Blue se suicida non sans avoir préalablement couvert d'insultes les révoltés.

Malgré le bon travail du conseil provisoire, les reproches fusent et j'ai le sentiment que je suis responsable en grande partie de la mauvaise ambiance dans le Duché.
C'est pourquoi lors des élections suivantes, je me sens usé par la critique de la part de la population du Duché, et je propose juste mes services à ma bonne ville de Moulins, où je suis alors une nouvelle fois élu Maire.

Ensuite est venue une longue période de replis, que j'ai mise à profit pour tirer les enseignements de mes erreurs, et où je pris la décision de ne plus me présenter à aucune fonction élective. Ma vie était alors devenue un peu triste et très calme.

Un jour je reçus une missive de Nakuneuil qui me demandait de lui prêter main forte pour établir le conseil provisoire du Maine, J'y déménagea alors dans l'urgence abandonnant tout ce que je possédais à Moulins avec la ferme ambition de faire de ce Comté un modéle de prospérité, de paix et de culture.

Mais le voyage m'ayant épuisé, je ne peux apporter une contribution sérieuse à ce conseil, et je ne parviens pas à m'épanouir sur ces terres qui me paraissent étrangéres. Les mois passent et je décide de tout abandonner en Maine, pour retrouver mon Auvergne.

La route fut longue mais enrichissante, je fis la connaissance bréve mais agréable de quantités de gens sympathiques, tous ces gens du Royaume étant très accueillants avec les voyageurs


* Chap V – Errance, renaissance et futures naissances *
( on finit toujours par trouver des gens intéressants)


De retour en Auvergne, j'avais tout perdu ,mes amis Odin et Zeroukay étaient morts, mes relations avec la nouvelle génération d'auvergnats et de bourbonnais quasiment nulles, j'étais sans le sou, mais heureux d'être de retour sur mes terres.

Un soir une jolie femme m'attendait à la Taverne, c'était la magnifique Sissi1, toujours aussi belle, mais aussi imprévisible. Elle et moi avons eu une longue discussion, et ça n'est pas faute de sentiments que je l'ai repoussée mais par peur de ne pas être capable de la rendre heureuse. Quelque jours plus tard ne supportant pas notre rupture définitive, elle se donna la mort. Rester à Moulins devenait alors pour moi une torture, puisque assailli constamment de trop de souvenirs. J'erre alors sans but sur les routes., tourmenté chaques nuits par d'horribles cauchemards

Un soir de passage à Montluçon, je fis la connaissance d'une personne dont le nom, m'avait été évoqué plusieurs fois, souvent en mal : Suzuki_Mikura. Mais j'ai découvert une personne formidable qui n'avait besoin que d'une chose pour s'épanouir: être aimée, et je l'ai aimé sincérement. Elle parvint à me redonner goût à la vie.

Je pris sur moi de recontacter mes enfants et mes soeurs, et tous m'ont reconnu avec plaisir, sauf ma fille Enorig qui resta indifférente à mes missives à mon grand regret. J'esseyais même d'apporter une modeste contribution à La Fondation.

Cette femme exceptionnelle parvint même à me faire envisager des projets à long terme, et je la demandais en mariage. Et tout aurait été parfait si elle n'avait présenté sa candidature à la mairie de sa ville sans m'avertir, ce qui fit que je ne la voyais plus alors que trop rarement. Et surtout quand elle s'en prit au souvenir de mon meilleur ami Odin, dont elle souilla la mémoire de propos haineux en publique.

Alors que dans le même temps, je tombais amoureux d'une jeune femme, fiancée, enceinte, et au caractére bien trempé : MarieXVI. Tout aurait dû nous éloigner, mais rien ne pû empêcher que nous nous rapprochions.

Elle et moi aprés avoir luttés contre notre attirance et essayés de préserver ce que nous avions déjà, mais nous avons fini par quitter nos fiancés respectifs, et le malheur a fait qu'elle a perdu son enfant. Nous avons aussi quittés la ville de Montluçon où nous résidions pour nous installer à Bourbon. Et nous filons depuis le parfait amour.

Chaque jour passé à côté d'elle a été une bénédiction pour moi, et si nos orageuses disputes m'ont prouvé une chose, c'est bien que je suis amoureux fou de cette femme, et que mon coeur lui appartient à jamais.

Alors que j'ai appris récemment que Mikura attendait un enfant de moi, et que Marie, aussi. Je me dis que ma vie va désormais se dérouler sous le signe de la paternité, ce qui est peut-être un juste retour des choses pour celle que j'ai pu vivre pleinement et paisiblement lors de mon premier mariage.

Amoureux de MarieXVI pour toujours

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Don Vasco décède le 25 mars 1455

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Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 17:02

BARBU dict le Terrible, Duc de Roanne, Seigneur de Durban-Corbières

Panthéon du Bourbonnais Auvergne 122-92

Arrow  Naissance au début de l\'été 1414 dans le comté de Vaucouleur.

Arrow  Arrivé à Montbrisson en 1453, il devient Soldat de l'OST du BA

Arrow Nommé Lieutenant et responsable de la Garnison de Montbrisson pour la COBA

Arrow A participé à la création du Conseil Culturel du BA, en compagnie de Dame Oya d'Azayes et de Dame Jariane, alors conseillère à l'animation, sous le mandat du Duc Don Vasco, en Octobre 1453

Arrow A participé comme lieutenant de l'OST du BA a l'attaque du Berry du Duc Juliano di Juliani par des troupes alliées lors du mandat du duc Trollfarceur. en janvier 1454.

Arrow Nommé Responsable de la culture du Blé pour le village de Montbrisson

Arrow Nommé Intendant et Sénéchal de la COBA

Arrow Nommé au Conseil du BA comme Chambellan, en remplacement de Dame Jariane, sous le mandat du Duc Lafouine, en Juin 1454.

Arrow Nommé Ambassadeur du BA en Savoie

Arrow  Anoblissement par le Grand Connétable de France, Thierry54270. Barbu devient Seigneur de Durban-Corbières

Arrow  Union religieuse avec Oya d\'Azayes, Baronne de Pierrefort, célébrée à Montbrisson, dans l’Eglise du père Assunto, par le père Foulke

Arrow  Elu Duc du Bourbonnais-Auvergne du 1 novembre 1454 au 31 décembre 1454

Arrow  Naissance de son fils Pierre de Roanne à Murat, en Décembre 1454

Arrow Participe en tant que Sénéchal de la COBA à la Guerre contre l\'Anjou puis à la Guerre contre la Bretagne

Arrow Rédaction du Guide du Bourbonnais Auvergne en collaboration avec Dame Garsende et le Père Pharacaë en Avril 1455

Arrow  Nommé Chambellan du duché en Juillet 1455, il démissionne avant la fin du mandat.

Arrow  Divorce entre Barbu et Oya d\'Azayes, prononcé à Rome par le Cardinal Ivrel de Tournoël, le 29 Septembre 1455

Arrow  Décès début janvier 1456 et enterrement à Montbrisson.


***************************

Biographie détaillée (Source : Wiki des RR)

Né en 1414 vers le début de l\'été dans le comté de Vaucouleur, il vécut une jeunesse difficile. Il était encore bien jeune, et c\'est ce qui lui sauva la vie, il était dans les champs avec ses parents et sa petite sœur quand son village fut pillé par les anglois. Trois de ses frères et sœurs furent massacrés alors qu\'ils étaient au village à apprendre avec le prêtre quelques rudiments d\'histoire et d\'écriture. En grandissant, sa haine contre les Anglois ne fit que s\'accentuer. Vers l\'age de 15 ans, il participa au côté de la pucelle, une amie d\'un village voisin, aux guerres contre les anglais afin de défendre le royaume de France pour la gloire du Roy de France. Etant amoureux de cette dernière, lors du bûcher, il fut prit d\'une grande colère contre les puissants de ce pays. C\'est alors qu\'il décida de voyager afin de trouver la paix en lui. Il visita nombre de pays, parcouru presque tout le monde connu. De l\'Afrique à l\'orient en passant par l\'Asie et le levant , rencontrant ici et là des personnes qui lui apportèrent savoir culturel et militaire. C\'est alors qu\'il fit la connaissance de moines soldats, anciens croisés. Ils lui firent connaître une certaine philosophie de la vie et de la religion. Puis ses nouveaux amis, vieux, décédèrent. Il décida de retourner dans son pays d\'origine voir ce qui avait changé.

Mais 20 ans avaient passés, et bien des choses avaient changé! Son père et sa mère étaient morts suite à une épidémie, sa soeur s\'était mariée et avait déménagé à ce qu\'on lui dit de retour au village. Alors il voyage dans le royaume jusqu\'à Montbrisson où il trouva une communauté chaleureuse. Il s\'engagea comme soldat au sein de l\'armée du duché, puis eu des promotions pour finir lieutenant, responsable de la garnison de Montbrisson. Il fut également représentant municipal à la culture du blé pendant quelques mois, poste qu\'il cède lors de sa nomination au conseil ducal du Bourbonnais-Auvergne lors du mandat du Duc Lafouine. Il devient Ambassadeur du BA en Savoie, mais cette expérience ne dure que quelques mois, son travail à l\'armée lui prenant trop de temps. En même temps, nouvelle promotion dans l\'armée ducale, il devient intendant de celle-ci avec le grade de sénéchal. C\'est dans cette même armée qu\'il rencontre celle qui deviendra un temps sa femme et la mère de son enfant, son unique héritier, la belle et douce Oya d\'Azayes, Baronne de Pierrefort.

Son ami le Grand Connétable de France, Thierry54270, ayant remarqué son abnégation à servir son duché dans l'armée ducale, son roy tout au long de sa vie, lui fait cadeau d\'une terre en Languedoc, le fief de Durban-Corbieres. C'est alors un des plus beaux jours de sa vie, il épouse celle qu'il aime de tout son être. Nouvelle élections du conseil ducal, il devient alors Duc du Bourbonnais-Auvergne. Son mandat achevé après maintes péripéties, il goutte à un repos mérité en famille. Sa tête mise à prix par un groupe de brigands, il se fait attaquer lors d'un voyage avec sa femme sur la route entre Clermont et Montpensier par un brigand qu'il met en déroute rapidement en lui bottant l'arrière-train. Il reprend du service comme sénéchal à l'ost qui est devenu Compagnie d'Ordonnance du Bourbonnais-Auvergne car son ami Silec de Mercoeur a déménagé en Lorraine et doit être remplacé. La guerre éclate entre l'Anjou et le Royaume de France. Adieu repos promis à sa douce femme : mobilisation des troupes , puis , après plusieurs jours, il monte au front à la suite de ses soldats pour les ravitailler avec sa douce épouse. Angers la fière et belliqueuse tombe après un jour et une nuit d'assaut, les troupes peuvent alors se reposer un peu, certains restent pour garder la ville, les autres, dont la COBA, reviennent en Touraine respirer un peu.

Arrivé à Tours, pour aider quelques soldats en difficulté avec le Prévôt Darkofdragon, Barbu se bat en duel avec celui-ci devenu duc de Touraine ensuite. Le combat est équilibré, l'homme se bat bien et vole l'annulaire de Barbu. Le combat tourne en faveur du Tourangeau, mais celui-ci reconnaît la valeur de son adversaire. Puis, nouvelle attente, ils décident de rentrer au pays se reposer et régler leurs affaires. Comme il l'avait promis, la guerre étant finie, les soldats rentrés chez eux, Barbu démissionne de l'armée du Bourbonnais-Auvergne avec son épouse.

Les Angevins ont repris Angers, la Bretagne attaque le Maine, la guerre ouverte éclate. Accompagné de nobles du duché, Barbu, à la tête de la lance remonte en Touraine pour défendre l'honneur de son duché et de son Roy.

C'est sans grand exploit qu'ils rentrent bredouilles de la guerre, ayant siégé devant Fougères la bretonne, celui-ci prenant fin avec une trêve, ils se dirigent sur l\'Anjou qui finalement signe un traité de paix avec le royaume, le retour en leur maison s\'impose.

Barbu accompagné de ses amis et de sa douce épouse, la belle Oya d'Azayes a donc repris la route de Montbrisson où l'attend pêche, taverne, amis et surtout, leur trésor, le petit Pierre de Roanne qui a du bien grandir depuis. Pour eux deux, il fait agrandir le château de Roanne afin d'y loger tous en permanence et organiser de belles fêtes en leur honneur.

Une dernière fois, une de trop, il se représente à l\'élection ducale et devient une nouvelle fois chambellan, sous le règne de la Duchesse Tchii. Obligé de démissionner pour des affaires personnelles, son épouse le remplace. Puis, s'en vient le drame de sa vie, ils divorcent. Elle, fatiguée de tout cela, lasse de ces guerres, batailles politiques, voulant du repos et vivre simplement, elle le quitte et va s'établir dans le sud du Royaume avec leur fils. Lui, monte en Berry aider ses amis Cuculus et Burin Khazard à défendre l'intégrité de leur duché la Touraine. Puis, il rentre à Roanne, son fief. Après quelques aventures dont une où il faillit mourir, il se remet à voyager.

Puis, fin décembre 1455, parti rejoindre ses deux ex belles sœurs, Wonderanny et Alivianne, prisonnières à Vendôme par les Lucioles, Barbu disparaît et meurt tragiquement début janvier 1456, gelé dans une rivière suite a une embardé de son cheval sur le chemin verglacé. Son corps est ramené congelé a Montbrisson, village qu'il a toujours affectionné, ensuite, sur un radeau de bois, il disparaît, brûlé au milieu du lac.


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Panthéon du Bourbonnais Auvergne Empty Re: Panthéon du Bourbonnais Auvergne

Message  Gypsie Jeu 13 Nov - 17:05

JojoLaSage


Baptème célébré par Monseigneur Sophonxe le 19 juin 1455 à Clermont

Panthéon du Bourbonnais Auvergne 16-47

Enterrement le Mercredi 10 Octobre 1455, par Monseigneur Ivrel sur ses terres de Montferrand.


- Dame Blanche :
Serment d'admission prononcé le 10 novembre 1453.
Nommée Lieutenante de l'Ordre en Mars 1454 puis Capitaine en Décembre de la même année.
- A créé la Grande Bibliothèque Ducale
-3 mandats de maire de Moulins (Octobre et décembre 1453 et mars 1454)
-Cofondatrice du BAR (2 Avril 1454)
-1er conseil : Janvier 1454: élue Connétable sous le mandat du Duc TrollFarceur
-Second Conseil : Mars 1454 : Conseillère à l'animation (puis procureur par intérim, sous le mandat de la Duchesse Zeroukay
-Troisième mandat : mai 1454 : Conseilère à l'animation sous le mandat du Duc laFouine
-Quatrième mandat : Septembre 1454 : Duchesse du BA.
-A initié la Charte des conseillers Ducaux.
-Cinquième mandat : Janvier 1455 : demi mandat de Prévôt des maréchaux, remplacée par ThemisLaDouce sous le mandat du Duc Melkio
-Sixième mandat : Mai 1455 : Cac et responsable de la Culture sous le mandat de la Duchesse ThemisLaDouce


Témoignages :

"Une duchesse organisée et sage, qui faisait fi des querelles de partis pour le bien du BA et qui était capable de travailler avec tous."
Monseigneur Ivrel, Avril 1456

"Pour moi Jojo, c'est ma fillou, ma complice, une bosseuse, une travailleuse acharnée, qui savait être douce, calme, diplomate.. je ne l'ai que rarement vue fâchée, elle savait imposer ses idées sans hurler ni crier.. ni blesser, c'est quelqu'un qui respectait tous et chacun et que moi je respectait énormément"
Oya d'Azayes, Avril 1456



Lettre patente de Zéroukay pour Jojolasage :


Zeroukay a écrit:De par le Roy

Lettres Patentes d'annoblisement

Zeroukay, par la volonté Divine et des Hommes, Duchesse de Bourbonnais et d'Auvergne. A tous ceux qui ces présentes lettres verront, présent et advenir salut.

La tendresse que la nature Nous donne pour ladite Jojolasage, et beaucoup d’autres raisons qui augmentent considérablement ces sentiments, Nous obligeant à luy en donner les marques, et luy donner des marques publiques de cette reconnaissance pour assurer son état, Nous avons estimé nécessaire d’expédier à cet effet ces Lettres Patentes d'anoblissement.

A ces causes, et autres considérations à ce Nous mouvans, de nostre grâce spéciale, pleine puissance, et autorité Ducale, Nous avons par ces présentes signées de nostre main, déclaré et déclarons remettons le fief de Calvinet, en Basse-Auvergne, entre les mains de la susdite Jojolasage, et érigeons ledit fief en baronnie. La susdite personne prête serment d’allégeance envers nostre personne pour le susdit fief.
Par voie de conséquence ladite personne prend le titre et le nom de "baronne de Calvinet".

Voulons, ordonnons et Nous plait que cy-après, tant en jugement qu’autrement, et en tous actes particuliers et publics, la susdite personne soit tenue, censée et réputée comme nous la tenons, censons et réputons possédant le susdit fief pour en jouir faire et disposer comme bon luy semblera, ainsi que des titre, honneurs, autorités, prérogatives, et préséances qu’il confère.

Qu’à ces fins ladite personne puisse et soit loisible de les tenir et posséder en nostre Duché et dans tout le Royaume de France, car tel est nostre bon plaisir.

Et que ladite personne porte pour armes : losangé d'argent et de gueules, au chef de gueules taillé d'or.

Panthéon du Bourbonnais Auvergne Wmjl08

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Liste des Mérites et des qualités :

A son arrivé à Moulins, elle a été durant 2 mois conseillère pour les vagabonds et les artisans, puis, suite à la mauvaise gestion du Maire de Moulins de l’époque, elle a pris les rennes et est ainsi devenue Maire.
Suite à cela elle a été réélue à chaque fois qu’elle c’est présenté soit deux fois.
Elle a également été durant 4 mois d’affilés au conseil.
- Deux mois au cours desquels elle a été Connétable, et est restée Colonel à l’Etat major par la suite.
- Les deux mois actuels durant lesquels elle est Conseillère Culturelle, elle a organisé en l’espace de deux mois une fête grecque en invitant le duché de Touraine et du Limousin afin de resserrer les liens entre nos différents duchés, une grande chasse à l’œuf en l’occasion de Pâques pour donner la chance aux personnes qui ne participent pas habituellement de se sentir concernées, une grande élection de Miss et Mister Bourbonnais-Auvergne en donnant ainsi de l’importance à chaque ville du BA.
Durant ce mandat, elle a vraiment essayé de faire en sorte qu’un esprit cordial et bon enfant règne dans notre duché à travers ces différentes fêtes car c’est évidemment primordial pour qu’un duché évolue.
Elle également endossé le rôle de Procureur durant une dizaine de jours.


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A Clermont d'Auvergne, le quatrième de mai de l'an de Pâques 1454.
Dame Zeroukay, Duchesse de Bourbonnais et d'Auvergne

Gypsie
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